OCS The Blitzkrieg Legend - 7.1 Fall Gelb Campaign No Holland

À l'abris du couvert de la forêt, l'armée allemande traverse les Ardennes belges et s'approche de la Meuse...

Le XVI. Armeekorps atteint la rive nord du canal Albert.

Le IV. Armeekorps renverse les Belges après une très forte résistance du 1^er corps belge à Tongeren.

Le V. A.K. a pris Huÿ et enferme Liège. Ses blindés des 3. et 4. Panzer-Divisionen arrivent devant Namur.

Le III. A.K. Perce la Meuse à Dinant et lance les 5. et 7. P.D. pour tourner Namur par le sud, bousculant le Corps de cavalerie français.

Le 1. P.D. et la 20. Infanterie-Division (mot.) prennent Givet à revers et bousculent le XI^e corps français.

Le VI. A.K. prend Sedan avec la 10. P.D. ouvrant la voie à leurs camarades de la 6. qui détruisent le corps français qui se croyait à couvert de la ligne Maginot !

L'armée belge se replie sur une ligne Louvain-Diest-Canal Albert, en liaison avec la British Expeditionary Force, déployée en avant de Bruxelles.

Le I^st corps anglais et le III^e corps français contre-attaquent avec succès à l'ouest de Namur et rejettent les Panzer au sud de la Sambre.

Dans les Ardennes, les II^e et XI^e C.A. se retirent vers le fortifications de Maubeuge.

La 1^ère division légère de cavalerie repasse la Meuse en bon ordre à Fumay pour flanquer le franchissement des Allemands plus au nord.

À Sedan les Bordelais du XVIII^e C.A. du Général Viantet et le XLI^e C.A. de frontière tentent sans succès de reprendre la ville, mais réussissent à isoler les blindés allemands au sud tandis que, venus de Reims, les 2^e et 3^e Divisions cuirassées se déploient face à eux.

Le XVI. Armeekorps (motorisiert) rejoint le XXVII. pour percer les lignes belges et prendre Diest. C^e dernier prend Tienen.

Le V. A.K. encercle Namur. Violentes attaques des 3^e et 4^e Panzer-Divisionen sur la 3^e Division Légère Mécanique du général de brigade Langlois, qui se retrouve temporairement coupée.

Les I. et XIX. A.K. occupent les Ardennes à l'est de la Meuse.

Depuis Sedan, la percée lance la 8. Panzer-Division vers l'ouest et coupe les cavaliers massés dans les Ardennes.

La 6. P.D. traverse le canal des Ardennes et s'empare de Rethel.

L'armée belge recule en bon ordre sur une nouvelle lignne Heuven-Herentals.

Le III^e corps d'armée français reforme sa ligne en reprenant Gembloux et en contre-attaquant victorieusement le cordon de Panzers entourant Namur, mais reste sur ses positions.

Le I^er corps du B.E.F. se déploie entre Charleroi et Maubeuge.

Les IV^e et XI^e C.A. se déploient sur l'Oise et reprennent du terrain abandonné à l'est de Fourmies.

Le XXI^e C.A., depuis Reims, organise la défense sur l'Aisne en accueillant la 1^ère Division Légère de Cavalerie en fuite depuis Fumay.

Le XVIII^e C.A. tient ses positions face à Sedan et bombarde efficacement les lignes allemandes.

Au nord, les IV. et XVI. Armeekorps encerclent l'armée belge...

Au centre, la bataille de blindés sous les murs de Namur continue et tourne à l'avantage des Allemands.

Au débouché des Ardennes, le XIX. A.K. surgit : la 13^e Infanterie Division (mot.) vient prendre devant Hirson la place des Panzers de la 8. Panzer-Division qui s'élance pour prendre St-Quentin et même Péronne !

Plus au sud, c'est Montcornet puis Laon qui tombent aux mains de la 6^e P.D. !

Au fur et à mesure qu'arrivent les division d'infanterie pour les remplacer, les Panzers au sud de Sedan partent en direction de la mer !

Un autre trou dans la ligne Maginot est ouvert à l'est de Sedan et des blindés et de l'infanterie allemande se glissent pour attaquer Stenay.

La position alliée est très menacée : une grosse percée dans le sud, des forces blindées en mauvais état ou coincées, des Belges isolés, des Anglais tiraillés entre deux flancs menacés...

L'armée belge est en fuite et tente de se rallier derrière sa seconde ligne Mechelen-Herentals en avant d'Anvers.

Au III^e C.A. français, les 14^e Cuirassiers et 25^e Dragons chargent à travers les Panzers et encerclent ceux-ci, tandis que les chars britanniques chassent ceux de la 4^e Panzer-Division ! Le front tient toujours à cet endroit.

Plus au sud, le IV^e C.A., inquiet de la percée des blindés sur son flanc droit, fait pivoter la 4^e D.Cr. qui reprend Bohain à l'infanterie motorisée allemande.

Autour de Péronne et de Sain-Quentin, de nombreux régiments d'infanterie alliés prennent position en urgence pour arrêter le mouvement d'exploitation.

Depuis Reims, le XXI^e C.A. Organise la défense.

Le XVIII^e C.A. lance une efficace contre-attaque sur la nouvelle percée de la ligne Maginot.

La situation générale n'est pas florissante mais le front tient à peu près partout.

Faute de munitions, le IV. Armeekorps ne lance pas l'assaut sur l'armée belge, mais des éléments de la 225. Infanterie Division ont passé le canal Albert après une courte réparation d'artillerie...

Au nord de Namur, la mêlèe continue et tourne à l'avantage du V. A.K. enfermant en plusiers poches les blindés français et anglais.

À Couvin, le III. A.K. déborde les Français couvrant la route de Fourmies.

Continuant son large mouvement tournant, le XIX. A.K. s'empare du Cateau-Cambrésis et déruit la quasi-totalité de la 1^ère D.Cr. L'étau se ressere sur le XI^e C.A. français.

Après de très rudes combats et une résistance acharnée de la 20^e division d'infanterie française, Stenay est prise, enfermant tout le XVIII^e C.A. Devant Sedan!

Sur le canal Albert, près d'Anvers, une contre-attaque écrase les Allemands aventurés sur la rive sud.

Le III^e C.A. français a finalement perdu la bataille de blindés : des 3 divisions légères mécaniques engagées, tout est dispersé !

Le XI^e C.A. se rétracte vers Maubeuge.

Un front se forme au nord de Paris, sur la ligne Amiens-Ham-Soissons.

Le III^rd corps angais s'organise sur une ligne Arras-Cambrai-Valenciennes.

Le XXI^e C.A. se renforce au nord de Reims.

Le XXIV^e vient aider le XVIII^e à se retirer de la poche de Stonne et à rependre Stenay.

Accalmie devant Anvers : le XXXIX. Armeekorps se contente de venir déployer des éléments avancés en vue du secteur nord du port.

Entre Namur et Nivelles, les tentatives de perces les lignes françaises écouent et un mouvement d'encerclement par le sud est entrepris.

La nasse se referme sur le XI^e C.A. Français...

La nouvelle du jour, c'est tout d'abord la prise d'Amiens par la 8^e Panzer-Division...

… puis celle d'Abbeville par la 13^e I.D. (mot.) ! Les armées du Nord sont coupées de Paris !

Le VII. A.K. attaque à nouveau Stenay mais, par manque de munitions, s'arrête aux portes de la ville.

L'heure est grave. Les Panzers sont arrivés sur la Manche!

Le I^st C.A. britannique parvient à s'extraire de Charleroi.

Le XI^e C.A. français est en déroute au sud de Maubeuge.

La 1^st Armoured Division anglaise échoue à reprendre Abbeville mais s'empare du pont ferroviaire à Nouvion, réalimentant in extremis le nord de la France !

Le V^e C.A. est reformé en hâte et, avec l'aide éléments anglais, reprend Péronne : une seconde ligne de chemin de fer est rétablie !

Les troupes coloniales reprennent l'offensive entre Chauny et Laon, ville sur laquelle se cassent les dents de la 1^ère Division coloniale.

Le XVI. Armeekorps (motorisiert) encercle les deux corps français et anglais entre La Louvière et Nivelles...

La voie ferrée à Abbeville est reprise par les tanks de la 8. Panzer-Division.

Péronne est reprise aussi et l'axe de pénétration devient plus solide, tandis que continue à avancer le XIX. A.K.

Le Nord est coupé de Paris et du reste de la France et ce, plus solidement qu'il y a deux jours.

Plus à l'est, la 1. P.D. a pris par surprise la ville de Reims, séparant l'état-major du XXI. CA de ses troupes...

La victoire est à portée de main !

Devant Abbeville, les tanks britaniques ferment les accès vers le nord...

Le V^e C.A. lance des contre-attaques vers Péronne.

La Fère est reprise...

Le XXI^e C.A. ne parvient pas reprendre Reims.

Le XLII^e C.A. se replie.

Ayant réussi à se frayer un chemin entre les lignes allemandes, les troupes anglaises et françaises de la poche de Nivelles s'échappent vers Halle.

La British Expeditionary Force amorce un grand mouvement de recul sur Bruxelles et plus à l'ouest. Des rumeurs parlent même de réembarquement !

D'autres rumeurs circulent sur la reddition des Belges, mais la présence en for e de leurs alliés français et anglais en nombre en Belgique les rendent absurdes.

Combats difficiles dans Anvers pour s'approcher du port, mais les Belges et les Français résistent.

Le XVII. Armeekorps prend Mechelen et dépasse Bruxelles par le nord.

Le VIII. A.K. poursuit son avance au sud de la capitale belge.

La 4. Panzer-Division prend de l'avance et atteint la Manche à Ostende !

En parallèle la 7. P.D. de Rommel prend Tournai et s'aproche de Lille.

Le XIV. A.K. atteint Cambrai et Denain.

Le XIX. A.K. assure sa position entre Péronne et Amiens.

Infiltrations et avance limitée autour de Reims.

Les armées françaises, anglaises et belges – 6 corps d'armée – sont prises dans un large poche, uniquement ravitaillé par le port d'Anvers...

La Belgique capitule! L'armée belge, regroupée autour d'Anvers, jette l'éponge, tandis que les Britanniques refluent rapidement en abandonnant Bruxelles et en espérant retrouver leurs communications dans la région d'Ostende, tombée pourtant aux mains des Allemands! Le port d'Anvers était leur dernier lien avec la Grande-Bretagne...

La tentative de reprise de Kortrijk, aux mains des moto-cyclistes de la 4. Panzer-Division a avorté.

Les Français se réorganisent et échouent à reprendre Tournai.

Des combats de tanks ont lieu autour d'Abbeville tandis que les blindés de la 1^st Armoured Division tente de surprendre les Allemands par le sud...

Face à Amiens, le XXXIII^e C.A. se rassemble pour couvrir Paris et éventuellement tenter une percée.

À Reims, le XXI^e C.A. tient toujours la partie sud de la ville et reçoit le renfort de la 4^e Division cuirassée de réserve qui n'a pas encore vu le feu.

En appui à sa droite, le XLII^e tient ses positions...

Les armes se taisent autour d'Anvers...

La 4. Panzer-Division est ravitaillée par parachute.

La poursuite de l'armée anglaise continue et les Tommies vont avoir beaucoup de mal à rembarquer à temps...

Le gros de l'armée allemande rejoint presque la 7. P.D. toujours enfermée dans Tournai et les avant-gardes à Tourcoing et Kortrijk.

Le XIV. Armeekorps s'approche de Douai après avoir pris Cambrai sans coup férir.

À Amiens, une vigoureuse contre-attaque de la 2. P.D. permet de dégager la ville et de menacer Breteuil.

Ham est prise et la 10. P.D. est aux portes de Noyon...

L'attaque de Reims tourne au fiasco : par manque de ravitaillement, la 1. P.D. se trouve en partie détruite et la ville n'est pas prise.

L'armée belge s'est rendue.

La British Expeditionary Force continue sa retraite et butte sur Bruges et Ostende occupées par les tankistes de la 3. P.D.

Les II^e et IV C.A. reculent en bon ordre.

Les tanks de la 1^st Armoured division ont repris le pont ferroviaire d'Abbeville, reliant à nouveau le nord de la France avec le sud !

Le XXIII^e C.A. s'accroche à Amiens.

Le V^e tient la ligne Montdidier-La Fère.

Le XXI^e tient Reims solidement.

Au XLII^e, la 10^e division d'infanterie contre-attaque et avance dans les bois à l'est de Reims.

Les Anglais se sortent du pétrin...

Contre-attaque efficace du III^e C.A. À Doulens qui chasse les Allemands installés là en avant-garde.

Contre-attaque de la 1^st Armoured Division à Abbeville : le pont ferroviaire sur la Somme est sécurisé!

Encerclement complet d'Amiens par le XXIII^e C.A.!

Contre-attaque réussie au sud-est de Reims!

Avec le XXXIX. Armeekorps, la 9^e Panzer-Division contourne les Anglais par le nord et vient relever leurs camarades de la 4. P.D.

Plus au sud, et formant l'autre partie de la tenaille, la SS-Verfügungsdivision monte en ligne, tandis que le régiment LeibStandarte Adolf Hitler s'empare d'Ypres et des avant-gardes prennent Poperinge et s'approchent de Veurne!

Le I. A.K. franchit la Schelde et rejoint les Panzers de la 7. P.D. dans Tournai.

Abbeville reçoit des munitions mais reste isolée...

Au sud d'Amiens la 2. P.D. casse l'attaque française tandis que l'infanterie réouvre la route vers Péronne.

L'attaque sur Noyon est arrêtée à cause de l'artillerie française.

Le corps anglais de Lord Gott est moulu...

Le II^nd C.A. anglais arrive très amoindri en vue de la Manche...

Le IV^e C.A. français se reforme en arrière, de Bergues à Armentières.

Le II^e, d'Armentières à Douai.

Le III^e anglais, tient la ligne Arras-Hesdin.

Le XXIII^e maintient la pression et le quasi encerclement d'Amiens.

À sa droite, le V^e assure la défense de de Montdidier et Noyon.

Au sud de Reims, une forte contre-attaque menée par la 1^ère division de cavalerie, a réduit le saillant allemand sur la Vesles.

Les combats se rapprochent des plages ! Les SS s'approchent de Dunkerque et de Nieuwpoort.

St-Omer et Boulogne sont aux mains de la 9. P.D. ! Des détachements de mitrailleurs sont aux portes de Calais !

Étaples aussi est prise, coupant définitivement la voie ferrée récemment restaurée...

La B.E.F a pratiquement disparu.

À Amiens, le contact est renouvelé avec la 2^e P.D.

Petite contre-attaque victorieuse à Abbeville vers le pont ferroviaire.

Noyon, attaquée, a été évacuée, tandis que Roye résiste encore.

Le sort des armées du Nord semble scellé...

Le piège ouvert à Sedan, s'est refermé : les ports de Nieuwpoort, Dunkerque et Calais viennent de tomber entre les mains allemandes ! Les armées du Nord ne peuvent plus compter que sur leurs maigres réserves et leur capitulation est proche...

Au sud d'Amiens, la défense française vient de perdre son état-major, capturé par les hommes du régiment GrosßDeutschland.

Le 5^e C.A. français est en déroute.

Le XVIII. Armeekorps pousse vers Paris : la 10. Panzer-Division a ainsi atteint Clermont et franchi l'Oise à Pont-Ste-Maxence et Nogent! Mais un ordre de l'OKH a stoppé les Panzer à quelques kilomètres de Paris!

Il n'y a plus d'alliés sur les plages...

Le B.E.F. se replie vers Montreuil...

… couvert par le IV^e C.A. français en liquéfaction...

Le II^e C.A. se replie en direction d'Abbeville, toujours tenus par les Allemands mais autour de laquelle le front tient encore, appuyé sur la 1^st Armoured Division.

Le XVI^e C.A. est reformé à l'ouest de Breteuil pour faire face aux forces de l'Axe à Amiens.

Le VI^e C.A., reformée aussi, vient aider le V^e à se sortir de la nasse de Roye.

Le XI^e C.A. organise la défense de Paris...

Conclusion :

Victoire allemande mineure [6 VP] très proche de la réalité historique. Quand la brêche est faite rapidement sur la Meuse, l'exploitation ,risquée, est possible et la décomposition du Nord intervient rapidement : moins de ravitaillement, des des Anglais qui ont rapidement besoin de rembarquer, des Belges qui disparaissent, des Alliés en général qui doivent retraiter... Tout se précipite!